Contrôles d’alcoolémie et stupéfiants

La conduite en état alcoolique et sous l’influence de stupéfiants est à l’évidence déconseillée.

Mais il est des taux qui sont tels que le danger n’est pas à la hauteur de la sanction.Il convient également de s’assurer que les mesures sont correctes.

Pour préserver les droits de l’automobiliste, il est impératif de solliciter une contre-analyse (ou 2ème analyse)

A défaut en effet, la régularité des opérations ne peut être critiquée.

Nous avons cependant personnellement constaté que les Forces de l’ordre tentent par tous les moyens de dissuader les intéressés de solliciter cette 2ème analyse.

Récemment, un de nos clients a appelé la gendarmerie depuis notre poste et nous avons pu entendre les mots suivants :

  • Vous allez morfler (sic !)
  • Ça va vous coûter 253,60 Euros ; (aucune somme d’argent ne peut être exigée
  • Il faut que vous passiez à la brigade et j’appellerai le magistrat devant vous (sous entendu vous risquez gros),

autrement dit l’emploi de mensonges éhontés, ce qui est peu digne d’un gendarme.

Ne vous laissez pas impressionner car très souvent les opérations sont irrégulières :

  • Flacons brisés ou mal scellés,
  • expertises réalisées illégalement : médecins non habilités, méthodes d’analyse irrégulières…

et au sortir, la relaxe est acquise.

Ceci vous évitera de perdre des points de permis, de subir une suspension de
permis ou pire une annulation de permis.

Voir aussi : ethylometres – ethylometre seres 679 – faq – ethylotestverbalisation par gendarme en civilcontrole routier et stupefiants